LES VARIANTES PHONOLOGIQUES DANS LES COURBES MÉLODIQUES FRANÇAISES: DÉFIS SYNTAXIQUES MÉMOIRE PRÉSENTÉ EN VUE DE L’OBTENTION DE LA MAÎTRISE EN LINGUISTIQUE – Complete Project Material

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LES VARIANTES PHONOLOGIQUES DANS LES COURBES MÉLODIQUES FRANÇAISES: DÉFIS SYNTAXIQUES MÉMOIRE PRÉSENTÉ EN VUE DE L’OBTENTION DE LA MAÎTRISE EN LINGUISTIQUE

CHAPÎTRE 2

PROBLЀMES D’ORTHOÉPIE

1.1 GRAPHIES ET LES SONS

Les grandes lois phonétiques sur les voyelles tiennent compte de la structure phonique: syllabe accentuée, ouverte ou fermée. Mais on a note aussi que beaucoup d’exceptions ne peuvent être expliquées que si l’on a recours aux graphies. Elles témoignent d’une évolution de la langue et sont aujourd’hui les seuls repères pour la prononciation. Si un mot comme frais se prononce avec un /E/ ouvert, c’est parce qu’il appartient à un certain type de graphème qui a conservé cette prononciation. Le problème est encore plus complexe avec les consonnes. À moins d’être philologue, il faut apprendre la liste des mots contenant le graphème /CH/ pour savoir que ce dernier se prononce [k] dans choléra et [∫] dans chaud. Si on examine deux des problèmes les plus spécifiques du français, celui du /E/ caduc et celui de la liaison, on verra combien sont liés les facteurs de graphie et de structure phonique.

Lorsque la lettre /E/ n’a pas d’accent graphique, comme dans refaire, essence et verdure faut-il la prononcer comme le /é/ fermé de thé, le /é/ ouvert de bête ou le /e/ de le appelé /E/ muet ou /E/ caduc ? La réponse dépend de la structure phonique, d’une part, et de problèmes graphiques, d’autre part.

-Structure phonique : Le /E/ caduc ne se trouve jamais en syllabe fermée.

On se rappelle que dans merci [mεRsi] par exemple le /E/ est toujours ouvert. Le /E/ caduc est toujours en syllabe ouverte comme dans le, de-main et re-tour.

– Graphies qui empêchent le /E/ d’être caduc en syllabe ouverte : Devant

consonne double ou sc, le /E/ sans accent graphique est /E/ fermé, comme

dans e-ffort, e-ssence,et de-scente.

Devant rr, on prononce généralement [ε], comme dans terre, erreur et terreur.

– Exceptions : Dans les préfixes, ou anciens préfixes, comme dessus, dessous et ressembler, le /E/ caduc garde son timbre de voyelle labiale.

Quand le /E/ caduc doit-il se prononcer ? Ici, la structure phonique joue un rôle. Il faut distinguer en effet entre /E/ caduc en position finale de groupe rythmique, ou à l’initiale et à l’intérieur. Et, dans ce dernier cas, on doit prendre en compte le contexte phonique. On peut dégager, très succinctement, les lois suivantes :

-précédé d’une seule consonne prononcée, le /E/ caduc tombe généralement, quelle que soit sa position dans le groupe rythmique :

(1) Initiale : Je vois [?vwa]

(2) Mediale : Un renard [oeRna:R]

(3) Finale : Il m’aime [ilmεm] sauf dans le pronom accentué :

Dis- le[dilə].

– Précédé de plus d’une consonne prononcée, le /E/ caduc est généralement prononcé, en position initiale et médiale de groupe rythmique :

(1) Initiale : Prenez ça [pRənesa]

(2) Médiale : Sept renards [sεtRəna:R]. Dans ce dernier cas, on voit que le

/E/ caduc de renard est prononcé parce qu’il est précédé des deux consonnes [t] et [R].

– /E/ caduc final de groupe rythmique précédé de deux consonnes prononcées tombe généralement : acte [akt], qu’il parte [kilpart].

Mais si la consonne finale est [R] ou [I], on entend un chuchotement, sorte de petit souffle, sourd ou sonore, comme dans litre ou livre. Note aussi que dans le parler « jeune » on entend souvent un /E/ caduc prononcé en finale, même là où il n’y en a pas dans la langue, comme dans : Bonjour-E !

– En cas de plusieurs /E/ caducs à la suite, on tend à garder le premier et à supprimer le second : Je n(e) vois pas, ne m(e) dis rien.

– Devant le /h/ aspiré le /E/ caduc se maintient : Le héros [ləeRo].

1.2 LIAISON

Qu’est-ce que c’est que la liaison ? Selon Larousse, la liaison est la prononciation de la dernière consonne d’un mot habituellement muette, avec la voyelle initiale d’un mot suivant.

La liaison est le résultat d’un état de langue ancienne où toutes les consonnes étaient prononcées. Vers le XIe ou XIIe siècle, les consonnes finales ont commencé à ne plus se prononcer. Ce n’est que dans la mesure où elles se trouvaient enchaînées à la voyelle suivante, à l’intérieur d’un groupe rythmique, qu’on les a conservées. (Zumthor 1983).

Qu’est-ce que faire une liaison ? La liaison consiste à prononcer une syllable composée de la consonne finale muette d’un mot et de la voyelle initiale du mot suivant.

Dans l’évolution du français, on constate que la langue a toujours cherché à maintenir sa structure d’enchaînement syllabique consonne+voyelle.

Le résultat actuel est que la consonne finale d’un mot, encore écrite, ne se prononce pas devant consonne, devant /H/ aspiré ou en finale, comme le t, dans petit pas [ptipa], petit homard [pti?ma :R] et petit [pti] mais qu’elle se prononce devant voyelle ou /H/ muet, comme dans : petit ami [ptitami], petit homme [ptit?m]. Dans la parole spontanée de la conversation ordinaire, la consonne de liaison s’enchaîne de la même manière que la consonne d’enchaînement consonantique à la voyelle qui la suit. On syllabe de la même façon petit ami [pti/ta/mi] et petite amie [pti/ta/mi].

Cependant, il faut noter que les consonnes d’enchaînement ne changent jamais de nature, alors que, dans la liaison, la graphie /d/ se prononce [t] et que les graphies /s/ et /x/ deviennent [z]. On a ainsi, d’une part, grande [grã:d] et grande amie [grã:dami] d’autre part grand [grã] et grand ami [grã:tami] ; quand [kã] et quand il [kãtil] ; prend [prã] et prend-il

[prãtil] .

C’est très important d’établir que les seuls cas où la consonne d’enchaînement change de nature sont ceux du /f/, dans neuf heures [noevoe : R] et neuf ans [noevã].

La liaison peut être obligatoire, interdite où facultative. Ces différents types de liaisons ont des rôles remarquables à jouer pour éclaircir les variants phonologiques dans les courbes mélodiques.

Liaison obligatoire ne l’est qu’entre les mots prononcés sans qu’il y ait arrêt de la respiration et composant une étroite unité de rythme et de sens : toute pause l’interdit. Elle est donc seulement possible à l’intérieur du groupe phonétique délimitée par l’accent tonique. La liaison obligatoire se fait ainsi :

-Entre le déterminant et le nom :

Mes amis, les élèves, les amis, les enfants, les oiseaux, ces amis, ces histoire.

-Entre le pronom et le verbe :

Ils étaient, ils ont, je les ai, nous en avons.

-Entre le verbe et le pronom interposé :

Etaient-ils, vient-il, veulent-elles, ont-ils.

-Entre le verbe être et l’attribut du sujet :

La terre est une planète.

-Entre les verbes avoir et être et le participe passé des formes verbales composées :

Ils sont agis avec méthode.

-Entre l’adjectif antéposé et le nom :

Un petit homme, premier acte, petits enfants.

-Entre la proposition et syntagme nominal :

Dans un an.

-Dans certaines locutions figées :

De temps en temps, mot à mot, vis-à-vis.

En outre, la liaison est théoriquement obligatoire quand on veut distinguer morphologiquement le nombre pluriel de mots homographes pour lesquels la liaison serait possible tant au singulier qu’au pluriel par un s ou un x final.

Alors, nous allons catégoriser la liaison obligatoire à travers les modifications Phonétiques :

La liaison obligatoire avec T, exemples:

-Un petit ami.

-Un petit homme.

-Un petit espoir.

-C’est à nous.

-C’est à vous.

-C’est à moi.

-Vingt ans.

-Vingt hommes.

-Il est utile.

-Il est adorable.

/d/ qui se prononce[t] :

-Un grand homme.

-Quand elle viendra.

/S/ qui se prononce [z]

-Nous allons.

-Vous allez.

-Nous aimons.

-Vous étudiez.

-Les élèves.

La liaison obligatoire avec N:

-Un ami.

-Aucun ami.

/f/ qui se prononce [v] :

-Chukwudi est neuf ans

-C’ est neuf heures justes.

Nous avons découvrir que l’emploi des principes de la liaison dans le discours nous guide à savoir le sens des sons en parole.

Liaison interdite l’est en tout premier lieu quand s’y opposent la distribution en groupes phoniques :

par’tons, il est’temps ; les enfants obéi’ssants écoutent leurs pa’rents,

ou la présence d’un /h/ aspiré au début du mot suivant le mot à consonne

finale muette :

-des haies

-en haillons

-grand hall

-bon havane

-petite hutte

La liaison est aussi interdite :

-après la conjonction et :

Un crayon et une gomme.

Mon chien court et aboie.

Aussi, on a la liaison facultative :

-après la finale r + consonne muette :

Bourg isolé.

Mort au combat.

Vers une heure.

-après la consonne finale muette d’un nom au singulier :

Plat assaisonné.

Coup audacieux.

Champ en friche.

-après la marque s intérieure de pluriel des mots composés :

Arcs-en-ciel.

Bêtes à bon Dieu.

Porcs-épics.

-après la désinence -es de 2e personne du singulier de l’indicatif et du

subjonctif présents :

Tu aimes à jouer.

Que tu partes au plus vite.

-devant des mots isolés, noms de nombre et autres noms divers

(onomatopées ou noms étrangers) :

Nous sommes onze.

J’ai besoin des yaourts.

En dehors des cas où elle est imposée où récusée, la liaison est souvent objet de choix (Hervé, 55). Plus la prononciation se veut soutenue, plus il y a de liaisons, ce qui peut conduire à un parler affecté et même pédant.

Mais la conversation ordinaire élimine à l’inverse beaucoup, sans qu’on puisse déterminer les raisons de cette exclusion, et tel ou tel groupe de mots se dira indifféremment avec ou sans liaison :

Toujours est-il que/ Toujours est-il que.

Ils donnent aux pauvres/ Ils donnent aux pauvres.

Tu vas chanter une chanson/ Tu vas chanter une chanson.

Les morphèmes ou les mots ont un accent qui assure leur autonomie ; seuls quelques termes comme les articles, les pronoms compléments avant le verbe, et les prépositions ne portent pas d’accent et forment avec le mot qui suit (ou précédé selon le cas) un groupe rythmique : ce sont des mots atones. Or, il existe entre les termes qui forment un constituant de la phrase (groupe du nom ou

groupe du verbe) un lien plus étroit, c’est la liaison. Elle consiste à réunir par une consonne une suite de deux termes dans le second commence par une voyelle.

Ainsi les amis se prononce /lezami/ en faisant apparaître pas dans les murs /lemyr/, le mot mur commençant par une consonne. La liaison n’a lieu en général qu’entre les membres d’un meme constituant. On dit il vit [ilvi] sans prononcer le /T/ final mais il va vite [ilvavit] en prononçant le [t] que la voyelle /E/ finale a protégé, avant de tomber elle-même à l’époque moderne. De même, devant une autre voyelle que /E/, la consonne finale a pu continuer à se prononcer dans la mesure où elle se trouvait souvent à l’intérieur d’un group rythmique. La liaison est actuellement une consonne finale, ordinairement non prononcée, qui se prononce devant une voyelle, à l’intérieur d’un groupe rythmique.

Dans il est petit, le /T/ final n’est pas prononcé. Mais dans petit ami, le /T/ final de petit est prononcé.

Nous avons pu constater, dans ce bref survol, qu’il y a trios sortes de liaisons : obligatoires, interdites et facultatives. Ne pas faire une liaison obligatoire peut amener une incompréhension, comme dans ils arrivent prononcé il arrive. Et, d’une manière générale, tout le monde se conforme aux lois de ce type de liaison.

Les lois sur les liaisons interdites sont plus souvent transgressées, qu’elles représentent des prononciations archaïques ou populaires.

La tendance à tout aligner sur le même modèle fait qu’on entend :

(1) Une généralisation de la liaison comme marque de pluriel, devant /h/

(2) aspiré, comme des amis, des haricots, des handicaps ou cent-zautres, mille-z-autres.

(3) Une généralisation des formes de liaison de la troisième personne des verbes : Il va –T-allé, elle pourra-T-écrire.

La liaison facultative est celle qui laisse le plus de latitude. Plus on en fait, plus on se rapproche du style oratoire. Moins on en fait, plus on se rapproche du parlé spontané qui en élimine de plus en plus, par économie linguistique.

1.3 PRONONCIATION DES CONSONNES DE LIAISON

En phonétique, on appelle consonne un son du langage humain don’t le mode de production est caractérisé par l’obstruction du passage de l’air dans les cavités situées au-dessus de la glotte. Les consonnes peuvent être de deux types: occlusives lorsque le passage de l’air est fermé et que le son résulte de son ouverture subite, continues lorsque le passage se rétrécit mais n’est pas interrompu (fricatives, latérales ou vibrantes).

Les consonnes françaises comprennent:

20 consonnes écrites: B, C, D, F, G, H, J, K, L, M, N, P, Q, R, S, T, V, W, X, Z.

18 consonnes phonétiques, ou contoîdes : b, d, g, v, z, p, t, k, f, s , m, n, ŋ, l

3 semi-consonnes phonétiques : j, w

On peut réserver le terme consonne aux consonnes graphiques et parler de contoîdes pour se référer aux phones ou phonèmes.

Tableau 1: Les Organes de la Parole

1. A : consonnes laryngales

2. B : consonnes pharyngales

3. C: consonnes uvulaires

4. D : consonnes velaires

5. E : consonnes palatals

6. F : consonnes alveolaires

7. G : consonnes dentales

8. H : consonnes labials

Classement des consonnes

Une consonne peut être classée selon différents critères :

Par le point d’articulation. On s’intéresse à l’organe phonologique mis en jeu lors de la production du son. La consonne porte un nom spécifiant ce point : bilabiale, dentale, vélaire, etc. Des surclasses existent pour ces caractères.

Par le type d’obstruction. Il s’agit de l’action qu’exécute l’organe phonologique. La consonne peut être occlusive, fricative, etc.

Par la cavité de résonance. Celle-ci peut être la bouche, auquel cas la consonne sera orale, ou le nez, et la consonne sera nasale.

Par le type d’écoulement. Si l’air circule par un canal central, la consonne est dite centrale. Si au contraire il circule sur les côtés, elle est dite latérale.

Par le mécanisme à l’origine de l’écoulement. L’air peut provenir des poumons, et la consonne est pulmonique. D’autres mécanismes permettent la production d’un son sans requérir d’air pulmonaire :

c’est le cas des clics, des injectives et des éjectives.

Par le voisement, c’est-à-dire si les cordes vocales vibrent ou non pendant l’émission du son. Si elles vibrent, la consonne est dite voisée (ou sonore). Sinon, elle est non voisée (ou sourde).

Les sept consonnes de la liaison.

En français, on compte sept consonnes de liaison, ou plus précisément sept sons consonantiques de liaison puisqu’il s’agit, nous l’avons dit, de consonnes orales:

1. [z]

2. [t]

3. [n]

4. [r]

5. [p]

6. [g]

7. [v]

La consonne de liaison [z]

Plus de 50% des liaisons s’effectuent avec le son consonantique [z].

Les consonnes finales « s », « z » et « x » engendrent une liaison en [z].

Exemple avec la consonne finale « s »:

– des arbres

– trois amis

Exemple avec la consonne finale « z »:

-chez eux

-chez elle

Exemple avec la consonne finale « x »:

-deux abeilles

– deux amis

On doit faire attention, lorsque la consonne finale “s” est précédée de

la consonne “r” il n’y a pas de liaison mais plutôt un enchaînement avec la consonne [r] qui précède, sauf s’il s’agit d’un “s” marquant le pluriel.

Dans ce premier exemple, un enchaînement se produit avec la consonne

[r], la consonne “s” reste muette:

“toujours absent”

Dans ce deuxième exemple, une liaison se produit avec la consonne [z] car la consonne finale “s” marque le pluriel:

“leurs éléphants”

La consonne de liaison s’enchaîne à la voyelle suivante, selon le principe général de la syllabation du français : Il est ici [i-l-ti-si].

1.4 LIAISON ET LE GROUPE RYTHMIQUE

Le rythme est produit par le nombre et la place des syllables accentuées et des syllabes non accentuées. Dans la parole spontanée, les groupes comportent 3 ou 4 syllabes non accentuées pour une syllable accentuée, c’est-à-dire que toutes les 3 ou 4 syllabes, il y une proéminence d’énergie articulatoire. Ce constat reste général et théorique, ne prend pas en compte la situation de communication ou le type de discours et ne distingue pas les deux types d’accentuation.

L’auditeur, en règle générale, n’est pas sensible à cette double accentuation et est à même de penser qu’il n’y qu’une seule accentuation utilisée. Il se produit un effet de masquage au plan de la perception et c’est bien souvent l’accentuation de type expressif qui l’emportera sur la perception de l’accentuation de base.

Cependant, dans une perspective didactique, il vaut mieux considérer qu’il y a superposition des deux accentuations et non effacement de l’une au profit de l’autre car c’est au moment de la production que l’on se rend compte du caractère tangible de l’accentuation de base, la seule accentuation de type expressif ne pouvant en rien permettre de render compte du schéma accentuel de base.

Sur ce point particulier plus que sur tout autre, il est de la plus haute importance de séparer l’analyse des phénomènes accentuels du français qui revoit à la connaissance du fonctionnement de la langue, de la perspective didactique de ce même phénomène. Cela signifie notamment que la séparation des deux compétences est encore une fois requise ici dans l’établissement de stratégies d’enseignement/apprentissage ( Rodiguer :1991).

En effet, on peut faire repérer, à partir d’activités de comprehension spécifiques, toute la variabilité et la mobilité inhérente à l’accentuation expressive et réserver un travail plus systématique d’acquisition des schémas accentuels de bas lors d’activités de production, afin de développer chez les apprenants une performance langagière proche de celle des natifs.

Le rythme est alors considéré comme cadre temporel dans lequel viennent se placer tout naturellement les syllabes à produire. L’acquisition de ce schéma temporel est fondamental parce que l’on s’aperçoit que c’est sans doute l’électives du français.

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